Sites compagnons

Lucie éditions propose aux auteurs de développer un site compagnon en parallèle de l'ouvrage papier.
Voici les sites existants à ce jour :


Soulages, la peinture. Poétique de l'accident

"La peinture de Pierre Soulages est d’une grande maitrise technique et en même temps, elle semble souvent rechercher le point de rupture, l’accident, qui la fait basculer dans l’aventure créatrice et la découverte. Comment Soulages peut-il à la fois vouloir l’accident et chercher la maîtrise technique dans un minimalisme rigoureux qui devrait définitivement l’écarter ? Quelle ruse, quelle stratégie met-il en place dans cette aventure de l’accident ? On peut identifier différentes formes d’accidents dans son œuvre : l’accident en gravure lorsqu’il troue la plaque de cuivre, l’accident de la démarche lorsqu’il découvre l’Outrenoir en peinture en 1979, l’accident du chromatisme dans ses vitraux de Conques, ou encore l’accident de surface qui anime ses toiles et fait vibrer la lumière..."





Néné Macari. Une passion nîmoise

Ce livre parle de Nîmes et il parle de vous… Il vous fera revivre des instants passés à Jean Bouin, à la Fontaine ou sur le Jean Jaurès. Il vous redonnera le parfum des souvenirs et espérons-le autant de plaisir que j’ai pris à l’écrire et à écouter Néné me conter cette vie qui a traversé les deux siècles et qui a vu notre ville se transformer et la société évoluer. Vous reverrez un décor, des rues, mais aussi des visages, des sourires, vous entendrez des applaudissements, des cris ou des rires, parfois ceux d’amis partis. Vous sentirez une ambiance qui fera encore battre votre cœur. Vous y serez à nouveau… Ce livre est le roman d’une vie. Une vie faite d’amour pour le chant, le ballon, les boules, pour sa famille et ses amis, pour un art de vivre ici à Nîmes. Ce livre, c’est le vôtre. Cette histoire c’est la vôtre… « Une passion nîmoise ».




Les carnets de guerre d'Alfred Bénézech (1914-1918)

Alfred Bénézech a 25 ans quand il quitte son village de Mudaison, près de Montpellier, pour être mobilisé le 3 août 1914 au 141e régiment d'infanterie. Soldat puis brancardier, il va de la Meuse à la Marne, de Verdun à Nieuport ou Beacon (Belgique)… D'août 14 à juillet 19, il tient son carnet de guerre. Alfred est de ces taiseux qui se disent parfois. De ceux dont il faut écouter aussi les silences. Et puis il y a les autres, les Barbusse, Genevoix, Giono… Ceux dont c'est le métier d'écrire. Ceux qui savent poser les mots là où leurs compagnons d'infortune scellent leurs lèvres, retiennent leurs doigts. L’auteur a croisé ces voix, ici réunies, dialoguant presque, au nom de tous ceux qui n'ont pu dire. De fragments en fragments, des simples carnets aux illustres poèmes, il éclaire sans prendre parti et interroge nos propres regards sur la grande guerre.